La terre, un système complexe et vivant,
à l’équilibre fragile.
Il est plus facile et rapide de détériorer un sol par des techniques culturales inadaptées que d’en préserver et favoriser sa fécondité naturelle. Je l’ai compris et progressivement découvert avec mes propres terres agricoles. Aujourd’hui, je transmets ma connaissance issue de toutes mes recherches, expérimentations et applications sur le terrain.
La véritable nature
des sols fertiles
Toutes les terres cultivables peuvent être fertiles.
Nous savons que la nature d’une terre arable est notamment liée à son épaisseur et à la composition de la roche mère située dans le sous-sol. Ces paramètres expliquent l’hétérogénéité des sols au sein d’un seul terrain.


C’est pourquoi, l’observation du développement des cultures et des plantes bio-indicatrices permet de déterminer plus précisément les déséquilibres du sol.
Un sol compacté est difficile à travailler et s’engorge vite lors de fortes pluies. Il empêche une bonne circulation de l’eau, de l’air et favorise le développement des plantes indésirables au système racinaire profond, tel le liseron, le pissenlit, le rumex, le plantain, etc.
De plus, ce type de sol affecte la résistance des cultures aux maladies et à la sécheresse, et bloque le développement uniforme des végétaux.
Des résultats visibles
Après l’application du plan d’action, réajusté chaque année, vous constatez que l’équilibre sanitaire de votre sol s’améliore :



